Stress au travail - sophrologieLe stress en entreprise est un sujet brûlant. Tous les médias les plus sérieux en parlent de plus en plus et ce sujet touche l’ensemble de la structure hiérarchique de l’entreprise. En effet, si ce problème est déjà connu pour toucher les employés, soumis au stress des conditions de travail, à une pression toujours plus forte sur la productivité et confronté à l’incertitude quant à la pérennité de son travail face à la crise économique, il touche également la partie haute, les cadres et dirigeants.

Ce phénomène et son impact sur les cadres prennent une telle ampleur que l’université de Montpellier et une grande compagnie d’assurance ont décidé de mener une étude précise sur ce sujet et, pour l’occasion, ont créé une chaire d’étude et financé plusieurs doctorats… mais qu’en est-il sur le terrain ?

En entreprise, le stress reste un sujet tabou. Si les nouvelles lois sur la prévention des risques psychosociaux est bien appliquée, les actions s’arrêtent le plus souvent à la rédaction du formulaire. Mettre en place des actions, même préventives, pour assurer le bien-être de ses employés ou même celui de ces cadres est considéré comme un aveu, la preuve d’une situation difficile, une situation dont il ne faut pas parler.

Pourtant, surtout quand il touche les cadres dirigeants, le stress peut avoir un effet dévastateur sur l’entreprise. Aujourd’hui, une étude semblerait montrer que, d’une façon générale, une absence sur deux est liée au stress. Mais quel est l’impact réel de l’absence d’un dirigeant sur son entreprise ? Quelles peuvent en être, à moyen et long terme, les conséquences ? Que devient une PME ou une PMI dont le dirigeant disparait ou dont les principaux acteurs s’arrêtent car à bout de souffle ?

Et si contribuer au bien-être au sein de l’entreprise devenait une force ? Et si le fait de prendre la situation en mains devenait une bonne pratique ? Cette transformation est complexe et demande parfois des changements de fond sur l’organisation et le fonctionnement de l’entreprise. Dans d’autres cas, il suffit de peu de choses. De permettre aux uns et aux autres de souffler, de décompresser pour mieux repartir. Mais faut-il encore que l’on sache comment. Certains feront du sport en salle, d’autres du yoga, de la marche, du vélo, mais il faut sortir, faire un break, prendre le temps.

La sophrologie propose une autre alternative. Son objectif est de vous donner des outils simples, basés sur des techniques de respiration, et utilisables n’importe où, mais surtout quand vous en avez besoin. Mené par un sophrologue diplômé et formé au sein d’une école reconnue, par l’un ou l’autre des syndicats qui encadrent cette profession, une formation ou un stage de sophrologie vous apporte les outils nécessaires pour travailler par vous-même après une dizaine de séances. Continuer au-delà permet d’aller plus loin dans la technique ou de faire un suivi à espace régulier pour ne pas oublier les bases. En aucun cas, la sophrologie ne vous enferme dans un processus long. Son objectif est réellement l’autonomie de chacun.

Savoir canaliser son stress, c’est être en mesure de l’utiliser de façon positive. Le gérer c’est pacifier sa relation aux autres et à soi même pour évoluer dans un environnement serein qui permet le développement de tous, la créativité maximum et l’établissement d’un leadership durable. La sophrologie s’inscrit alors comme un véritable outil de development personnel et de bien-être au travail.

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