Le métier de sophrologue 2025 : 10e étude annuelle

Vous avez été 545 sophrologues à participer à cette enquête annuelle sur le métier de sophrologue 2025. C’est un record absolu depuis sa création.

En effet, les années précédentes réunissaient entre 350 et 400 répondants. Cette mobilisation exceptionnelle illustre votre intérêt pour ce travail collectif et votre volonté de contribuer à une meilleure connaissance de notre profession.

Un tel nombre de participants est précieux : il renforce la fiabilité des résultats et élargit la diversité des profils représentés. Plus l’échantillon est grand, plus il se rapproche de la réalité globale du métier.

Pour mémoire, le nombre de sophrologues en France est estimé entre 8 000 et 10 000 praticiens installés. Cette estimation résulte du croisement des chiffres disponibles auprès des organismes de formation, des syndicats, et des données de l’INSEE sur les immatriculations d’entreprises en activité principale.

Pour donner un point de comparaison, les grands instituts de sondage publient régulièrement des études politiques ou sociales en s’appuyant sur des échantillons de 1 000 à 1 500 personnes pour représenter l’ensemble de la population française (environ 67 millions d’habitants).

Rapporté à la taille de notre profession, réunir plus de 500 réponses équivaut à une couverture environ 50 fois plus importante que celle de la plupart des enquêtes d’opinion nationales !

À quoi ressemble le métier de sophrologue en 2025 ?

Quelles sont nos formations ? Nos spécialisations ? Nos tarifs, nos chiffres d’affaires… Pour la 10^e année consécutive, nous essayons de répondre à ces questions avec l’aide de toutes celles et de tous ceux qui ont accepté de participer.

Foire aux questions (FAQ) sur l’étude 2025

Chaque année, certaines questions reviennent régulièrement au sujet de cette enquête.
Cette FAQ a pour objectif de rappeler le cadre, la méthodologie et les limites assumées de l’étude.
Elle permet aussi de préciser ce que recouvrent les résultats et ce qu’ils ne prétendent pas démontrer.

L’échantillon est-il représentatif et suffisant ?

L’étude ne repose pas sur un panel construit par un institut, mais sur la participation volontaire des sophrologues. Cette année, 545 répondants se sont mobilisés, soit environ 5 à 7 % de la population totale estimée des sophrologues en France (8 000 à 10 000 praticiens). À titre de comparaison, les grands sondages d’opinion politique reposent sur 1 000 à 1 500 personnes pour représenter 67 millions d’habitants. L’échantillon n’est donc pas « représentatif » au sens académique, mais il est ample et solide.

Qu’entend-on par “sophrologue” dans le cadre de cette étude ?

La sophrologie recouvre des pratiques variées : formations courtes ou longues, approches plus relaxantes ou plus proches du modèle du Pr Caycedo. Ici, le choix a été fait d’être inclusif : toute personne se déclarant sophrologue et exerçant professionnellement pouvait participer. Cette diversité reflète la réalité du terrain et permet de donner une image fidèle de la profession telle qu’elle est vécue en France.

La méthodologie est-elle transparente et neutre ?

Oui. La méthodologie est décrite publiquement depuis la première édition, et les questions sont simples, accessibles et liées directement à l’exercice du métier. L’étude est ouverte à tous, sans distinction d’école, de syndicat ou de durée de formation. Aucun filtre ni orientation des réponses n’est appliqué.

Pourquoi n’y a-t-il pas de marge d’erreur statistique ?

La marge d’erreur ne peut être calculée que dans le cas d’un échantillonnage aléatoire, ce qui n’est pas la démarche ici. L’étude n’a pas vocation à être un sondage scientifique. En revanche, ses limites sont rappelées clairement : elle repose sur la participation volontaire.

Des mesures de variabilité sont-elles incluses (médiane, dispersion, etc.) ?

Oui, dans la mesure du possible : les résultats présentent non seulement des moyennes, mais aussi des médianes, répartitions par tranches et comparaisons dans le temps. Ces indicateurs permettent de comprendre la diversité des situations. En revanche, l’étude ne va pas jusqu’à l’analyse statistique avancée (écart-type, corrélations complexes), car elle ne prétend pas être une recherche académique.

L’étude peut-elle être vérifiée ou reproduite ?

Oui. C’est la 10ᵉ édition consécutive, réalisée avec la même méthodologie, ce qui permet d’observer des évolutions réelles dans le temps (revenus, nombre de clients, diversification des pratiques…). De plus, les résultats sont publiés sous licence Creative Commons, ce qui permet à chacun de les consulter, de les reprendre et de les analyser librement.

Positionnement éditorial

En dehors de la conclusion factuelle à la fin de l’étude, je ne vous proposerai aucune analyse ni interprétation. À la lecture de vos retours, certain·e·s suggèrent que cet exercice pourrait introduire un biais et je ne peux qu’approuver. Chacun tirera donc ses propres conclusions. 

Rappel de licence et conditions d’usage

Cette étude sur le métier de sophrologue 2025, comme l’ensemble du site, est publiée sous licence Creative Commons Attribution – Pas d’Utilisation Commerciale – Partage dans les Mêmes Conditions 4.0 International (CC BY-NC-SA 4.0).

• Pas d’usage commercial : interdiction de la vendre ou d’en restreindre l’accès (abonnement, adhésion, etc.).
• Citation des sources : mentionner la source, idéalement avec un lien vers le document d’origine, y compris si vous réutilisez les questions pour une enquête personnelle.

Tout téléchargement ou consultation vaut acceptation de ces obligations.  

Téléchargement gratuit de l’étude