Métier de sophrologue en 2022

À quoi ressemble le métier de sophrologue en 2022 ?

Pouvons-nous parler de reprise de notre activité après cette période de COVID ?

Quelles sont nos formations ? Nos spécialisations ? Nos tarifs, nos chiffres d’affaires…

Pour la 7e année consécutive, nous allons essayer de répondre à toutes ces questions avec l’aide de plus de 400 sophrologues qui ont accepté de participer.

 

La méthodologie

Comme tous les ans, je précise que ces chiffres et les analyses n’ont absolument rien de scientifique. Ils ne valent que par ce qu’ils représentent.

Ici, pas de population représentative ni de panel sélectionné. Tous ceux qui exercent le métier de sophrologue en 2022, installés depuis au moins un exercice fiscal, pouvaient participer.

Contrairement aux organismes qui ont décidé de copier cette étude, ce travail possède donc des caractéristiques uniques :

  • Elle est neutre : aucun syndicat ni école n’a de position à défendre.
  • Elle est diverse : les participants sont issus de tous les courants. Aucune restriction n’est faite sur l’appartenance ou la durée de formation.
  • Elle bénéficie d’un historique de comparaison. Parce qu’elle en est à sa 7e année consécutive, elle vous offre une vision sur l’évolution réelle.
  • Elle est la vôtre : chacun peut y participer tous les ans, de façon totalement libre.

Concernant les chiffres eux-mêmes, ils sont issus des données communiquées anonymement par les participants. Ils concernent l’exercice fiscal 2021.

En synthèse

En synthèse, 2021 est à la fois une année fiscale où les effets de la COVID se font encore sentir et celle d’une reprise en pente douce.

Par exemple, si l’on remarque une remontée de 4,5% de nos revenus annuels, cette hausse ne semble pas généralisée à toute la profession.

Ainsi, 28,2% des répondants déclarent des revenus en baisse sur 2021 par rapport à 2020 qui était la pleine année de pandémie.

Ce constat s’effectue aussi au travers du faible nombre de sophrologues ayant réussi à dépasser le seuil du SMIC mensuel net au moins une fois dans l’année. En effet, ce chiffre chute de 27,3% à 15,2%.

Ainsi, on peut en déduire que pour ceux qui exercent le métier de sophrologue en 2022, la reprise est non seulement timide, mais qu’elle ne profite pas à tous. Un écart continue de se creuser entre le petit nombre qui, financièrement, arrive à sortir la tête de l’eau et le reste des sophrologues.

Par ailleurs, cette réalité semble être confortée par le nombre de professionnels qui optent pour une activité salariée comme source principale de revenus et n’exercent plus que par passion.

Pour plus de détails, je vous invite à consulter en ligne ou à télécharger les résultats complets.

Rappel important

Cette étude, comme les précédentes et la globalité du site sont sous licence Creative Comon Attribution – Pas d’Utilisation Commerciale – Partage dans les Mêmes Conditions 4.0 International (CC BY-NC-SA 4.0)

Vous pouvez donc l’utiliser comme bon vous semble, dans sa globalité ou en partie. Vos seules contraintes sont :

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  • Obligation de citer vos sources, de préférence avec un lien vers le document d’origine… et cela même si vous réutilisez les questions pour effectuer votre propre enquête…

Tout téléchargement ou consultation vaut acceptation de ces obligations.

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